Puis, avec les mots de ce poème, ils ont chacun écrit le leur.
* Le coq porte un rouge trop grand
pour lui. (Joël Bastard)
Pour
lui le coq porte un trop grand rouge (Zoé)
Le coq porte un grand pour lui trop
rouge (Muhamet)
Le grand coq porte une rouge trop pour lui (Abdoul).
* Trop d’automne aujourd’hui. (Joël
Bastard)
Aujourd’hui
trop d’automne (Amélie)
*Je suis un voleur d’éclats,
Que je laisse ensuite
Briller sans moi. (Joël Bastard)
Que
je laisse briller un voleur,
Ensuite
moi
Je
suis sans éclat. (Florjia)
Moi je suis un voleur d’éclats,
Ensuite
Je laisse briller sans que... (Florian)
*J’écris avec ce que vous ne lirez jamais.
(Joël Bastard)
Jamais
vous ne lirez avec ce que j’écris (Sabrina)
* Tout ce que je sais,
on me l’a dit.
Je vous écoute ! (Joël Bastard)
Je
vous dit
tout
ce que je sais, là.
On
m’écoute ! (Mickaëla)
* Ne me réveillez pas, je dors avec
l’essentiel. (Joël Bastard)
L’essentiel,
je ne dors pas avec. Réveillez- moi ! (Gwendoline)
* Je suis né un jour et ce jour est
mort. J’étais vivant ce jour-là. (Joël Bastard)
J’étais
mort ce jour et je suis né ce jour-là,
vivant
un jour. (Lenny)
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